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Le scribe de Karnak - Hotep (tome 1)
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Le scribe de Karnak Série : Hotep

Auteur : Morales

Prix : 9,40 €

Date de sortie : 24/09/2007

Nombre de pages : 48

Catégorie : Historique

Type de reliure : Album cartonné

Éditeur : Glénat

Collection : vécu

Publié le 21/10/2007


La nouvelle série du dessinateur d’ « Alix » !

C’est à Thèbes, à plus de mille kilomètres d’Alexandrie, que débute ce récit. À la mort de son père, HOTEP hérite de sa charge de Grand Prophète d’Amon de Karnak, haute fonction du clergé égyptien. Au même moment DEMIAS, le nouvel envoyé du pharaon PTOLÉMÉE, arrive à Thèbes où il exige de nouveaux impôts que les égyptiens ne pourront pas réunir. HOTEP qui se révolte est
condamné à mort, tandis que son épouse TANY et ses enfants sont livrés à l’occupant par le traître RÂNEB. Alors que sa famille arrive à gagner Alexandrie, HOTEP qui réussit à fuir, cherche à parvenir dans le palais de PTOLÉMÉE auquel il souhaite demander justice.



Rafaël Morales signe un scénario d’une grande exactitude historique et riche en coups de théâtre, soutenu par un dessin
classique digne de son maître le grand Jacques Martin.

Morales tiens donc les promesse d'un digne succèsseur de Jacques Martin. D'une facture classique, Hotep se decline dans la lignée d'un Alix. Des décors très travaillés qui donnent une dimension particulière à ce recit historique. Que ceux qui cherchent un  moyen agréable de connaître l'Egypte ancienne sans trop se prendre la tête se procurent sans hésiter cet album. De Karnak à Alexandrie, le voyage est passionnant. On regrettera si on est plus exigeant la simplicité de la réalisation car sans réelles surprises. Le combat du bien contre le mal est dirons-nous presque carricatural pour peu que l'on attende quelques chose de pointu. Un tome 1 que je reserverais par conséquent à un public adolescent voir plus jeune. Mais graphiquement Hotep reste un régal.

Avis de Thibs

Après dix huit ans de collaboration avec Jacques Martin, le dessinateur des derniers Alix, réalise ici, un premier album solo réussi.

Outre des couleurs fraiche émanant du pinceau de Micheline Pochez, le travail de Rafael Morales se distingue de son ancienne collaboration avec Jacques Martin par une mise en scène plus aérée .Chose rare des gros plans sont à distinguer alors que les derniers albums d’Alix étaient dessinés de manière plus classique.

Rafaël Morales signe un scénario d’une grande exactitude historique et riche en coups de théâtre, soutenu par un dessin digne de son maître Jacques Martin. En se faisant plaisirs, Rafael Morales nous fait plaisirs.

Découvrez l'interview de Rafael Morales !

 





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