Série : Mélusine Auteur : Clarke & Gilson Prix : 9.20 € Date de sortie : 06/05/2008 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Humour Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Dupuis Lien spécifique : http://www.dupuis.com/servlet/... Publié le 06/05/2008

Jamais sans mon balai
Une sorcière sachant voler est une bonne sorcière... Si, tel un oiseau, Mélusine ne cesse de voler sur son balai, on ne peut pas dire que ce soit le cas de Cancrelune qui a autant de grâce qu'un mammouth, autant d'agilité qu'un hippopotame et autant de légèreté qu'un éléphant ! Vous l'aurez compris, en matière de vol sur un balai, les talents de Cancrelune sont plus que limités ! Heureusement qu'elle peut compter sur les cours particuliers de Mélusine pour apprendre à manier un balai, quoique ce n'est pas sans risque !

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Autre(s) critique(s) de cette série

• L'élixir de Jouvence (tome 19)
• Sang pour sang (tome 17)
• L'apprentie sorcière (tome 15)
• La cuisine du diable (tome 14)

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Série : Les gosses Auteur : Carabal Prix : 9.20 € Date de sortie : 06/05/2008 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Humour Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Dupuis Lien spécifique : http://www.dupuis.com/servlet/... Publié le 06/05/2008

Pas cool d'avoir des parents !
Romain, avale ton petit dèj' tu vas rater le début des cours ! Cyril, ça fait dix fois que je te demande d'aller te coucher ! Les garçons, vous mettez la table ? Allez, Lola, donne-moi la main ? Bon, maintenant, ça suffit ! Je ne veux plus que vous jouiez avec ce satané ballon à l'intérieur de la maison ! Oouuuuuh ... vous m'énervez vraiment, les gars !
Les parents, il faudrait quand même leur expliquer que c'est pas en s'énervant qu'on va y arriver. Et que s'ils nous laissaient finir ce qu'on a commencé, tout le monde serait bien plus content. Na !

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Autre(s) critique(s) de cette série

• Trop la classe (tome 13)
• On assure grave (tome 12)

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Série : La Tour de Kyla Auteur : Zaz & Le Fab & Mick Prix : 12,90€ Date de sortie : 20/03/2008 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Aventure Humoristique Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Clair de Lune Collection : Sortilèges Lien spécifique : http://editionsclairdelune.free... Publié le 05/05/2008

Dans les sous-sols de la Minas T'Irrite, des aventuriers ont réveillé un monstre endormi depuis des Eons. Notre petite sorcière doit désormais faire face à cette menace, alors que la magie entropique de la Tour fait des siennes. Et puis parce que c'est toujours le boxon en Terre de Fangh, voilà que débarque une armée de nains belliqueux, un barbare aux ambitions matrimoniales et un mystérieux personnage qui s'intéresse un peu trop à Zev.

Et c’est reparti pour du 100% délire !

Cette bd est toujours truffée de références aux jeux-vidéos ou du cinéma (il suffit juste de voir le titre) et elle est bien sûr tout aussi hilarante que le premier tome. Cette histoire pleine de n’importe quoi organisé (quoi ça ne veut rien dire ?) est exactement ce dont à besoin un lecteur pour se détendre sans trop réfléchir. La seule réflexion que vous aurez, ce sera de retrouver tous les clins d’œil aux plus grands classiques (comme Final Fantasy ou le Seigneur des Anneaux pour ne citer que les plus flagrants). Mais tout cela n’empêche pas cette bd d’avoir une vraie histoire avec un dragon, un héros, des sorciers et bien d’autres choses.

La Tour de Kyla est une bonne dose d’originalité dans ce monde d’uniformisation.

Autre(s) critique(s) de cette série

• Porte, Monstre, Trésor (tome 1)

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Série : La Tour de Kyla Auteur : Zaz, Fab, Mick, Pierre Leoni Prix : 12,90€ Date de sortie : 02/03/2007 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Heroic-fantasy Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Clair de Lune Collection : Sortilèges Lien spécifique : http://editionsclairdelune.free... Publié le 05/05/2008

Dans les montagnes de la terre de Fangh, Kyla, jeune sorcière impétueuse, ignore qu'elle vient d'acquérir une tour maudite. Entre une mère envahissante, une amourette impossible, un fonctionnaire gênant et une ribambelle d'aventuriers toujours plus stupides, Kyla survivra-t-elle à sa première expérience de «Maître de donjon» ?

« Un grand n’importe quoi !

L’histoire, les personnages, les références, tout ça c’est du n’importe quoi… mais attention pas n’importe quel n’importe quoi… mais du n’importe quoi génial…

Cette critique c’est du n’importe quoi… »

Voilà la critique que j’aurais bien aimé faire car pour moi, elle correspondait parfaitement au délire de cette bd. Mais mon rédacteur en chef (très cher et tendre) m’a dit : « Ca ne va pas la tête, prends ton travail au sérieux ! ». Me voilà donc relativement bien embêté… et oui, comment vous parler de cette bd qui est à la fois une réunion de référence et de délire. Ce titre réunit tout cela, tout en étant extrêmement drôle. Aaaaah mais comment pourrais-je vous expliquer tout le temps que j’ai passé à rire devant cette bande dessinée. J’ai beau me creuser la tête, je ne vois absolument pas comment faire…

Trêve de réflexion, je ne vois qu’une chose à dire, RUEZ-VOUS SUR CETTE BD GENIALISSIME !

Note de Tryak : En effet, je confirme c’est du grand n’importe quoi !

Autre(s) critique(s) de cette série

• Gros Bills dans la Brume (tome 2)

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Série : La Compagnie des Longs Chemins Auteur : Hughot & Chavot Prix : 12,90€ Date de sortie : 20/03/2008 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Heroic-fantasy Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Clair de Lune Collection : Sortilèges Lien spécifique : http://editionsclairdelune.free... Publié le 05/05/2008

Les Oracles concordent, demain verra le jour du renouveau de l'ère d'Hanoïa, et de tous les recoins de l'Empire, de nombreux peuples rejoingnent la Capitale pour participer aux festivités organisées en l'honneur de la Déesse Génitrice...

De l’heroic-fantasy comme j’aime…

Alors prenons d’abord les codes des grands classiques : un orque, un nain, un elf noir, un voleur, une magicienne (oui ça manquait de présence féminine) et un jeune garçon très naïf… et en un tome tout ce monde se rencontre et vit une histoire extraordinaire. Mais ce qui est absolument génial, c’est que tout se passe de manière très naturelle et ça ne va pas trop vite (trop fort le scénariste). Les dessins très bien travaillés donnent un bon volume à cette histoire et rendent très bien les moments bourrés d’humour.
Je ne vois que deux défauts à mon goût (et oui je suis exigeante), le premier est la colorisation qui par moment en fait un peu de trop par rapport à d’autres scènes très bien gérées et le deuxième (énoooorme catastrophe !) c’est un one-shot donc ils ne revivront pas d’autres péripéties (c’est trop triste, mais tellement réaliste…).

Voilà donc une bd que j’ai adoré et qui mérite largement de figurer parmi les meilleurs one-shot de votre bédéthèque !

Karuka-san - 19/07/2008
Très bonne BD. Dommage qu'elle soit un one-shot... J'ai particulièrement bien aimé l'elfe noir (Lugol) et le nœud ROSE dans les cheveux de Mylrock (l'Orque) Et la scène que le plus apprécié est quand ils chantent faux pour détruire le grand méchant mais que le voleur se fait écraser le pied parce que lui, a trouvé le moyen de chanter juste ^^! J'espère que l'auteur fera quand même une suite ou que je trouve des fics dessus !

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Série : FDC Auteur : Bad & Fox Prix : 9,80€ Date de sortie : 21/02/2008 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Thriller Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Clair de Lune Collection : Magnum Lien spécifique : http://editionsclairdelune.free... Publié le 05/05/2008

Qui n'a pas rêvé un jour de pouvoir se venger de tout et surtout de tous ceux que l'on déteste le plus ?
C'est en utilisant ce ressort universel, la loi du talion sans la punition de la société, que fut spécialement créer : "La Fondation Du Cercle". Organisme basé au Canada et mondialement reconnu pour ses actions humanitaires, sous couvert de cette façade respectable, se cache à sa tête le noyau dur d'un groupe extrémiste, parfaitement autonome et échappant à tout contrôle gouvernemental : le "Haut Comité".
La monté en puissance de la pauvreté, un certain pourrissement des pouvoirs en place, une large complaisance en faveur de grands criminels, ont décidé ces sages à faire le ménage pour le bien de l'humanité avec pour objectif unique : la peine capital. Afin d'armer leurs bras vengeurs, ils désignent des tueurs professionnels comme bourreau : Nouvelles cibles Dimayo et Disksman, personnages clés du monde sulfureux de Las Végas et des divers trafiques connexes.

FDC je me suis étonné à le lire…

Et oui, je n’ai jamais été une grande amatrice du genre à la Largo Winch et consorts, alors je ne comprends pas pourquoi j’ai adoré celle-ci…
Cette bande-dessinée d’un style graphique plutôt réaliste, nous plonge au cœur d’une machination ourdie par le cartel de la drogue et de la mafia. Bien que le sujet puisse paraître totalement classique, il est abordé de manière intéressant et chose non négligeable ce premier tome à une fin. Bien que nombre de questions restent en suspend (Qu’est-ce que la Fondation ? Qui la créée ? Dans quel but ? Qui est vraiment UGO ? Quel est son passé ?...) pas besoin d’attendre 20 volumes pour régler une histoire.

Donc pour conclure, j’ai totalement accroché moi qui suis plutôt fantastique ou science-fiction dans mes choix de bd. Peut-être est-ce du aux magnifiques paysages présents dans FDC ou bien au découpage qui tout en restant classique sort de l’habituel…

Une série à suivre de près et à déguster pour comprendre son charme et sa complexité…

Jeff - 02/06/2008
En tant que fan de XIII et de Largo Winch, j’attendais depuis longtemps le renouveau de ce genre de BD. Du sang neuf, du décalé, et là, avec cet album, on a enfin une future grande série ! D’abord, on est séduit par les décors minutieux et grandioses qui s’offre à nous, comme un film sur grand écran. Même le moindre décor d’intérieur est poussé au maximum dans la précision du détail. Ce qui est vraiment nouveau dans cette série, c’est que tout est pris à contre-pied : le début de l’album nous jette tout de suite dans l’intrigue, sans l’habituelle mise en place de l’univers en un tome, le héros « sans peur et sans reproche » s’en prend plein la figure, autant physiquement que moralement, et le personnage féminin qui sert en général de fer-valoir, devient ici piquant (très belle Chini avec un tatouage impressionnant !) et important. Le méchant (pas le maffieu de Las Vegas, l’autre, le sud-américain), malgré ses origines, n’est pas affublé des traditionnelles, gourmette, pendentif, et autre chemise voyante, qui reviennent dans toute les série B pour ce genre de personnage. Pour moi, l’univers de Bad à des côtés très « Tarantino »… Les scènes d’action sont bluffantes (voir Ugo courant à poil dans le désert… inimaginable dans une BD réaliste !), et si le scénario au départ paraît nébuleux, il fini à la fin de nous apporter toute les réponses en ouvrant d’autres pistes. Bref, de la maîtrise pour un premier opus !

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Série : Les aventures de Tom Sawyer de Mark Twain Auteur : Morvan - Voulyzé - Lefebvre Prix : 10.10 € Date de sortie : 23/04/2008 Catégorie : Adaptation Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Delcourt Collection : Ex-Libris Lien spécifique : http://www.editions-delcourt.fr... Publié le 05/05/2008

“Tom Sawyer, c’est l’Amérique !…” Pour tous ceux et celles qui ont chanté à tue-tête ce refrain, l’occasion est donnée de découvrir les véritables aventures de Tom Sawyer. Une fidèle adaptation de ce chef-d’œuvre de la littérature américaine !

Témoins d'un meurtre commis de sang froid par Joe l'Indien, Tom Sawyer et Huck jurent de garder le secret absolu sur cette affaire. Ils sont néanmoins rongés par la culpabilité de laisser un innocent risquer la corde et quittent alors la ville. Les deux amis voguent sur le Mississippi en quête d'aventures et décident de changer de vie pour devenir... pirates !

L'avis de Campopiano :

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Série : Wayne Shelton Auteur : Cailleteau & Denayer Prix : 10.40 € Date de sortie : 02/04/2008 Nombre de pages : 48 pages couleurs Catégorie : Espionnage Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Dargaud Lien spécifique : http://www.dargaud.com/front/albums... Publié le 02/05/2008

1945. Dans Berlin en flammes, des patrouilles américaines anéantissent les derniers foyers de résistance nazie. Un lieutenant S.S. réussit à remettre un dossier à un colonel balafré qui s’enfuit aux commandes d’un de ces chasseurs à réaction révolutionnaires sur lesquels Hitler comptait pour renverser le cours de la guerre.

2007. Wayne Shelton reçoit un appel au secours d’un vieux copain de bordée, devenu moine. Blessé, réfugié dans son église, près de Clermont-Ferrand, il est traqué par un commando de fous furieux à l’accent espagnol…

Mercenaire du Christ !!!

 

Des femmes à damner un saint !!!

Quand Jean Van Hamme et Christian Denayer ont créé Wayne Shelton, j'ai salivé de plaisir. C'est n'est pas si souvent qu'on trouve en BD un héros quinquagénaire. Sa première aventure comprenait 2 tomes. Je préfère les one shoot (un seul album), mais là, cela en valait la peine. Il y avait un baronnet anglais, un cascadeur espagnol et une pickpocket professionnel (Honesty Goodness). C'était la castagne et une histoire d'évasion. Shelton avait un plan en béton. Il était amoureux d'Honesty. Van Hamme se servait de ses connaissances du monde de la finance, de la politique. On nageait dans l'exotisme et Denayer nous dessinait des femmes à damner un saint (de saint, il en sera question plus tard). Par contre, l'humour était plutôt de bas étage. De Shelton, on savait juste qu'à 19 ans, il avait commandé une unité spéciale de sabotage au Vietnam, expérience qui l'avait beaucoup marqué. Incapable de vivre une vie normale, il avait fait de la contrebande au Moyen-Orient qu'il connaissait comme sa poche. Son seul amour, c'était Honesty qu'il n'épouserait jamais. Et puis Van Hamme jeta l'éponge comme pour Thorgal, comme pour XIII. Il fallait un nouveau scénariste. Le choix paraissait prometteur: Thierry Cailleteau, le scénariste d'Aquablue. Hélas, à partir du tome 6, « L'otage », le repreneur connaissait de gros problèmes d'essouflement qui devenaient manifestes au tome7.

 

Une lance qui peut donner la résurrection !!!

Dans « La lance de Longinus », tout commence à Berlin, en 1945. Un nazi s'enfuit avec un mystérieux dossier nommé Longinus. Dans une prison, les américains découvrent un jeune moine crucifié et torturé. Bien plus tard, Shelton retrouve dans une église un vieux pote, Roch Gourdain qui a besoin de lui de toute urgence. Ce dernier s'est fait moine et protège un coffret sacré. Tous ses frères ont été assassinés par un commando. Lui-même est blessé. Il entraîne Wayne dans un passage secret et lui fait promettre de ne pas ouvrir le coffret. Les deux hommes ont alors une invitée surprise, Mona, qui se présente comme historienne (c'est cousu de fil blanc). Elle ouvre le coffre qui contient la lance de Longinus, le légionnaire qui a achevé Jésus sur la croix. On lui attribue un pouvoir mystique et miraculeux. Elle peut donner la résurrection !!! Wayne accepte, en tant que mercenaire de la convoyer à Jérusalem en passant par Istanbul. La suite est à découvrir dans l'album: d'énormes ficelles et d'épouvantables stéréotypes au niveau du scénario. Je vous laisse juge. Et dire qu'il y aura une suite à ce navet. Heureusement, Denayer se surpasse pour sauver quelque peu l'histoire...

 

Au fourneau...

On ne présente plus Jean Van Hamme qui a délaissé le monde des affaires pour devenir Le meilleur scénariste de BD: outre XIII et Thorgal, il a concocté un one shoot éblouissant: « Le grand pouvoir du Chninkel ». Il nous gâte avec Largo Winch (une série télévisée et un film en préparation), Les maîtres de l'orge, Lady S, Blake et Mortimer et un summum, Histoire sans héros. Le dessinateur Christian Denayer est moins connu et a eu du mal à percer. Mais il a quand même eu une carrière prolifique: Yalek, Alain Chevallier, Les casseurs (qui font sa renommée), Gord, Génération Collège (un four, un flop), TNT (du même acabit). Pour Wayne Shelton, il se défonce et fait en grande partie le succès de la série. Thierry Cailleteau, c'est un peu l'inconnu. C'est un scénariste français qui a travaillé sur Aquablue et occupé la fonction d'éditeur chez Vents d'Ouest. Il y a un monde entre l'univers d'Aquablue et Wayne Shelton. Est-il vraiment le scénariste approprié ? Point positif pour la série, les ventes sont tout à fait honorables: les lecteurs ne s'attachent pas seulement à des auteurs, mais aussi à des personnages. Affaire à suivre...

Autre(s) critique(s) de cette série

• Vendetta (tome 13)
• No return (tome 12)
• Cent Millions de Pesos. (tome 11)
• La rançon (tome 10)
• Son Altesse Honesty (tome 9)
• La nuit des aigles (tome 8)
• L'otage (tome 6)

Samba - 29/05/2008

Wayne Shelton 007 n'est pas au service de sa majesté, mais au secours d'un vieil ami devenu moine. Il devra lancer une opération tonnerre pour ramener la lance de Longinus. Demain ne meurt jamais serait la faculté de cette arme sacrée .Il sera épaulé par la belle Mona, certainement rien que pour vos  yeux lui aura-t-il dit, notre  grisonnant goldfinger. Le casino royal est donc lancé pour une aventure dangereusement vôtre avec des effluves d'ésotérisme.

 

Un album remplit de stéréotypes (par exemple les nazis, tous des grands blonds avec des gueules de boxeur) mais aussi très agréable à lire. Bon sinon, il faudrait dire à Wayne de changer de voiture, car la Mini (on dirait un album sponsorisé par cette marque), c'est loin de valoir une Aston-Martin. Il faudra aussi m'expliquer comment les américains ont fait pour arriver dans les faubourgs de Berlin en 1945 .Je ne  pense pas que les russes à l'époque auraient apprécié cette incursion. Mais bon, depuis qu'on sait que le Führer  meurt un autre jour et va bientôt ressusciter, on n'est pas une aberration prête.
Le monde ne suffit pas certainement à notre bon vieux Wayne.

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Série : Le futuriste Auteur : Cotte & Stromboni Prix : 13.75 € Date de sortie : 11/03/2008 Nombre de pages : 56 pages sépia Catégorie : Aventure historique Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Casterman Collection : Univers d'auteurs Lien spécifique : http://bd.casterman.com/Albums_Detail... Publié le 02/05/2008

1912. L’italien Luciano Salvatori, un artiste peintre installé à Paris, s’efforce difficilement de vivre de sa peinture, qui s’inscrit dans le mouvement en plein essor des futuristes. Il côtoie Picasso, Appollinaire, mais, comme la plupart des créateurs d’alors, vit un quotidien de grande misère matérielle. Jusqu’à ce qu’il fasse la connaissance d’un étrange mécène, qui, en échange d’une rétribution généreuse, lui passe une très curieuse commande : imaginer et peindre des machines de destruction, laisser son inspiration s’exprimer en roue libre pour représenter la guerre de demain. Parce que la guerre est l’hygiène du monde, et la mort une condition du futur. Mais qui peut bien être au juste son mystérieux commanditaire ? N’y a-t-il pas une dimension presque faustienne dans l’acte créateur qui lui est proposé ? Et peut-on imaginer, finalement, que la fonction de l’art soit aussi de tuer ?

Par deux auteurs nouveaux venus chez Casterman, une passionnante réflexion sur la création en même temps qu’une brillante évocation des avant-gardes artistiques à l’orée du XXe siècle.

Le destin des peintres à souvent inspiré de superbes bandes dessinées, (relisez les classiques Isaac Le Pirate de Blain, Période Glaciaire de De Crécy ou Le Bordel des Muses de Gradimir Smudja). Derrière la couverture splendide du Futuriste, on découvre à travers les oeuvres du peintre Luciano Salvatori, le mouvement Futuriste, et sa fascination pour les machines, la guerre, la vitesse. Dessiné dans des tons sépias, incluant croquis et typographies, l'album est un régal visuel, plein de trouvailles et de références picturales. Stromboni et Cotte réussissent une fiction passionnante sur une avant garde majeure du début du vingtième siècle. Ce Futuriste est au Futurisme, ce que le Pascin de Sfar était à l'Ecole de Paris. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître : chapeau !

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Série : Jojo Auteur : andré Geerts Prix : 9,20 € Date de sortie : 02/04/2008 Catégorie : Humour Type de reliure : Album cartonné Éditeur : Dupuis Publié le 02/05/2008

Aujourd'hui, Jojo a sept ans et demi. À cette occasion et pour perpétuer la tradition familiale, son papa lui offre une jolie montre. Et pas n'importe laquelle ! C'est la montre que son arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père s'est achetée après douze années d'épargne laborieuse. Depuis 130 ans, ce précieux bijou est transmis de père en fils. Jojo est ravi d'être désormais le garant de ce trésor de famille et ne résiste pas à l'envie de l'emmener à l'école pour la montrer à Gros-Louis. Bien mal lui en prend car le directeur a décidé d'appliquer le règlement à la lettre : tout objet n'ayant rien à voir avec les matières enseignées sera confisqué. Et voilà, la montre saisie ! Jojo devra faire preuve de beaucoup d'ingéniosité pour récupérer son bien et éviter la colère paternelle !

L'avis de Morgan :

Aujourd'hui, Jojo a 7 ans et demi et reçoit comme tous les garçons de sa famille au même âge un cadeau exceptionnel : une montre ancienne qui avait appartenu à son arrière-arrière-arrière-arrière-(la place me manque)-grand-père. Un trésor de famille comme celui là, c'est trop tentant de l'amener à l'école pour le monter à Gros Louis et aux copains. Et là : Ca-tas-trophe ! La montre est confisquée pour toujours par le directeur et enfermée à double tour dans le local des objets confisqués ! Comment Jojo va-t-il récupérer son précieux bien ?? Dans cette course poursuite effrénée pour retrouver la montre, Geerts fait mouche (comme toujours). Drôle et mignon comme tout, cet album vous donnera sûrement envie de retourner à l'école ! Tout simplement génial.

L'avis de Nina :

Moi, le petit Jojo, je le trouve très attachant. Il est très gentil avec sa mamy avec laquelle il vit parce que son plombier de papa travaille tellement qu’il ne peut s’occuper de son petit garçon. Je pense que sa maman est morte quand il était tout petit. Il a un super méga pote qui s’appelle Gros Louis. Il est très gourmand mais il a la chance d’avoir un papa pâtissier
J’aime aussi qu’il ait un petit chien espiègle: Prince! Il apparaît dans mon Jojo préféré: ‘Jojo au pensionnat’. C’est aussi celui que je relis le plus. Les premiers que j’ai découverts sont ’Le Mystère Violaine’ et ’On opère Gros Louis’, mais je les ai tous à la maison! Les histoires sont rigolotes, j’apprécie beaucoup le dessin et je trouve Jojo très beau. Comme c’est une série de 17 tomes, le style a beaucoup changé et le Jojo du tome 1 est très différent de celui du tome 17, mais ça ne me dérange pas. La série évolue, quoi!
Le personnage que je trouve le plus drôle est le directeur qui est vraiment maniaque et qui embête tout le monde à l’école. Surtout sa bonne vieille secrétaire qui l’envoie souvent valdinguer! J’aime les histoires qui se passent à l’école et ce dernier album nous permet de replonger dans l’univers de celle de Jojo. Ce dernier est à la recherche de la montre centenaire dont il vient d’hériter et que le directeur a confisquée. (D’où le titre!). Il va vivre plein d’aventures cocasses pour la retrouver.
Jojo, c’est tout un univers avec des dessins animés, un site avec des cadeaux, des économiseurs d’écran, l’album photo…le tout sur http://jojo.kidcomics.com.
En tout cas, voilà une de mes séries préférées que je vous conseille chaudement.

Autre(s) critique(s) de cette série

• Mamy Blues (tome 18)
• Jojo vétérinaire (tome 16)

Yoyo - 26/10/2010
La malchance de Jojo est impressionante ^^. Cette histoire est aussi bien écris que les autres. Comme à Mamy Blues, je mets un 10.

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